28 Décembre 2015
Lisez Jean 12:31, 14:30, et 16:11. Pourquoi Jésus appelle-t-Il Satan le prince de ce monde?
Quand Dieu a créé Adam et Ève dans le jardin d’Éden, Il leur a confié la gestion d’Éden (Genèse 2: 8,15), et la prise en charge de toutes les créatures dans les eaux, le ciel, et sur la terre (Genèse 1:26, 28). Quand Adam nommait tous les animaux, il démontrait son intendance sur eux. Habituellement, c’est en ayant autorité sur quelque chose qu’on peut lui donner un nom; donc, en nommant toutes les créatures, Adam démontrait clairement son statut en tant que dirigeant du monde.
Quand Adam a perdu cette domination, Satan a très rapidement rempli le vide. Une partie de la restauration de la race humaine, rendue possible par le sacrifice de Christ au calvaire, se fera lorsque les rachetés auront le privilège d’Adam et Ève, de régner avec Dieu pour le reste de l’éternité comme des « rois et des prêtres » (Apo. 1: 6; 5:10).
Les premiers chapitres du livre de Job nous révèlent toute l’ampleur de la perte d’Adam. Comme nous avons un aperçu de la salle du trône de l’univers, nous pouvons également voir combien la race humaine est devenue subordonnée à la nature depuis la chute.
Lisez Job 1: 6, 7 et 2: 1, 2. Pourquoi Satan se présente-t-il à l’assemblée des fils de Dieu, comme faisant des va-et-vient sur la terre?
Faire des « allers et retours » ou « va-et-vient » n’est pas seulement l’acte d’un touriste. Dans l’Écriture, c’est un signe de la propriété. Quand Dieu a donné le territoire à Abraham, Il lui a dit de parcourir sa longueur et sa largeur (Genèse 13:17), et de même à Moïse et puis Josué (Deut. 11:24, Jos. 1: 3). Satan, en un sens, se vante comme étant « le dieu de ce monde » (2 Cor. 4: 4).
L’introduction de Satan dans les deux premiers chapitres de Job est parallèle à ce qui est arrivé dans Genèse 3. Satan introduit le trouble au paradis et laisse alors les victimes humaines souffrir dans son sillage.
Quelles sont les preuves que nous pouvons voir de l’œuvre de Satan dans ce monde? Comment pouvez-vous tirer l’espoir de la promesse qu’un jour tout ce gâchis, ce désordre, prendra fin?
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